Être en moiteur. La chaleur qui frappe au sommet et commet quelques entrechats et entre-chocs dans la caboche. Voilà, oui, il fait chaud. De cette chaleur qui rend ivre et fou. Ça ne pète pas, ça ne passe pas. Il faut s’en remettre aux ressources aquatiques pour tromper l’inconfort. Tremper ses doigts dans la gelée de mûre, se consoler au pastis, se conformer à l’usage estivale, fuire mes consorts, prendre le large à domicile.
27/07/2013
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